Exposition « Deux siècles de presse lycéenne »
La presse lycéenne apparaît dès les années 1820. L’exposition « Deux siècles de presse lycéenne » est une exposition patrimoniale qui propose de revisiter et de retracer son histoire, en prise avec l’actualité de son époque. Les Unes présentées livrent un témoignage vivant, audacieux, coloré des jeunes et de leur temps. Cette exposition, composée de 28 panneaux, est à destination des établissements scolaires ainsi que des médiathèques et des structures jeunesse.
Dossier pédagogique Journalisme de solutions
Elaboré en partenariat avec les CLEMI académiques de Lille, de Créteil et l'association Reporters d'Espoirs.
Comprendre la carte de Reporters sans frontières
Avec cette activité pédagogique, les élèves (des niveaux 4ᵉ, 3ᵉ et 2ᵈᵉ) découvrent comment RSF établit chaque année l’état de la liberté de la presse dans le monde. À partir d’interviews de deux correspondants RSF – l’un pour la Norvège, l’autre pour la Grèce – ils plongent dans la méthodologie du classement, et répondent à quelques-unes des cent questions posées aux experts internationaux par l’ONG.
À partir de l'exemple de ces deux pays, cette séquence pédagogique permet d’analyser les enj…
Webinaire de formation
Découverte de l'exposition et du dossier pédagogique
Ressources supplémentaires
Présentation de deux ressources en lien avec l'exposition
Deux poids deux mesures ?
Nous sommes tous médias
Dimanche, il y a eu un incendie à la pizzeria en face du collège. Une partie de la classe était réunie au kébab juste à côté. Cindy a posté des photos sur Photogram. et Léonard et Fama ont recueilli les premières réactions sur place. Cette dernière a tout raconté sur les réseaux sociaux, et a notamment rapporté de fausses informations.
A l’heure des réseaux sociaux nous sommes tous un peu médias. C’est utile mais complique les choses et peut aboutir à des dérives.
La liberté d'expression et ses limites
Chaque année, le théâtre de la ville organise une soirée amusante. Une dizaine d’habitants monte sur scène pour faire tour à tour le portrait d’un voisin. La soirée s’appelle « En toute liberté » et le journal local reprend chaque année les meilleurs portraits. On a le droit de parler des défauts de ses voisins, de les exagérer et d’en rigoler. Mais cette année, la soirée a mal tourné. Un habitant a fait un portrait carrément raciste. La liberté d’expression a des limites, elles sont même fixée…
La théorie du complot
C’est devenu l’obsession de Kamel : il est persuadé que son prof d’anglais a une dent contre lui. Comme par hasard, il n’a jamais la moyenne et ce malgré tous ses efforts. Il commence à croire qu'il s'agit d'un complot et décide d'en parler à ses parents. Sa mère prend alors l'exemple des attentats du 11 septembre pour lui expliquer ce qu'est vraiment la théorie du complot...
Un réseau social, ce n'est pas un journal
En ce mois de juin, le Canard boiteux a lancé un défi aux élèves : raconter chacun leur année au collège sur leur réseau social préféré. De son côté le journal sortira un numéro spécial où ses reporters raconteront l’année à leur façon. A la fin du mois on compare : rien à voir entre ce que racontent les élèves et les journalistes. Un réseau social ce n’est pas un journal : plus de subjectivité, plus de buzz, moins de synthèse, moins d’information.
Un réseau social, ce n'est pas un journal
En ce mois de juin, le Canard boiteux a lancé un défi aux élèves : raconter chacun leur année au collège sur leur réseau social préféré. De son côté le journal sortira un numéro spécial où ses reporters raconteront l’année à leur façon. A la fin du mois on compare : rien à voir entre ce que racontent les élèves et les journalistes. Un réseau social ce n’est pas un journal : plus de subjectivité, plus de buzz, moins de synthèse, moins d’information.
A quoi sert la caricature ?
Campagne des municipales à Troupaumé. L’adversaire du maire est le directeur du supermarché, très enrobé. Babu, le dessinateur satirique du Canard boiteux le caricature en gros cochon baveux avec ce titre : « Un gros porc à la mairie ? » Débat entre Léonard (son oncle est engagé auprès du maire) et Léa autour du droit à la caricature et ses limites.