DE FACTO 2 : chercheurs, journalistes et acteurs de l’éducation unis face à la désinformation
Deux ans après son lancement, le projet européen DE FACTO est reconduit et bénéficie de nouveaux partenaires. Ils sont journalistes spécialisés dans le fact-checking, chercheurs ou professionnels de l’éducation aux médias et à l’information. Tous unissent leurs forces pour développer l’esprit critique du plus grand nombre face aux fausses informations.
Le numérique et les nouvelles technologies de l’IA ont bouleversé les pratiques informationnelles. Dans ce contexte, nous nous devions de réaffirmer une ambition claire : donner à tous des clés pour mieux s’informer.
DE FACTO réunit une équipe pluridisciplinaire d’experts coordonnés par l’Agence France-Presse : France Télévisions, 20 Minutes, Libération, Les Surligneurs, l'université Paris II Assas, la Fondation Descartes, le CLEMI (Centre pour l’Education aux Médias et l’Information), Entre Les Lignes, MediaConnect et XWiki SAS.
Leurs travaux, à destination du grand public des enseignants et des médias, multiplient les formats pour permettre à chacun de comprendre les enjeux actuels de la désinformation. Des contenus riches et des données clefs, accessibles à l’adresse suivante : defacto-observatoire.fr
Sur cette plateforme, en open source :
des fake news débunkées par les plus grandes rédactions françaises
des travaux de recherche pour balayer à 360° les enjeux de la désinformation
des tutoriels et vidéos explicatives pour permettre à chacun de mieux s’informer
des ressources pédagogique pour les enseignants et médias
Pour faire de cette initiative un véritable projet citoyen, le collectif DE FACTO organise des journées d’étude, des sessions de formations pour les enseignants, des interventions en milieu scolaire et des actions de sensibilisation.
Cofinancé par la Commission européenne, DE FACTO jouit d’une indépendance éditoriale totale. Le projet s’inscrit dans le programme EDMO - l'Observatoire européen des médias numériques, qui concerne les 27 Etats membres de l’UE, ainsi que la Norvège. Ses missions : identifier la dimension internationale des mécanismes de désinformation et partager des outils pédagogiques pour permettre à chacun de mieux s’informer.
DE FACTO 2 : chercheurs, journalistes et acteurs de l’éducation unis face à la désinformation
Deux ans après son lancement, le projet européen DE FACTO est reconduit et bénéficie de nouveaux partenaires. Ils sont journalistes spécialisés dans le fact-checking, chercheurs ou professionnels de l’éducation aux médias et à l’information. Tous unissent leurs forces pour développer l’esprit critique du plus grand nombre face aux fausses informations.
Le numérique et les nouvelles technologies de l’IA ont bouleversé les pratiques informationnelles. Dans ce contexte, nous nous devions de réaffirmer une ambition claire : donner à tous des clés pour mieux s’informer.
DE FACTO réunit une équipe pluridisciplinaire d’experts coordonnés par l’Agence France-Presse : France Télévisions, 20 Minutes, Libération, Les Surligneurs, l'université Paris II Assas, la Fondation Descartes, le CLEMI (Centre pour l’Education aux Médias et l’Information), Entre Les Lignes, MediaConnect et XWiki SAS.
Leurs travaux, à destination du grand public des enseignants et des médias, multiplient les formats pour permettre à chacun de comprendre les enjeux actuels de la désinformation. Des contenus riches et des données clefs, accessibles à l’adresse suivante : defacto-observatoire.fr
Sur cette plateforme, en open source :
Pour faire de cette initiative un véritable projet citoyen, le collectif DE FACTO organise des journées d’étude, des sessions de formations pour les enseignants, des interventions en milieu scolaire et des actions de sensibilisation.
Cofinancé par la Commission européenne, DE FACTO jouit d’une indépendance éditoriale totale. Le projet s’inscrit dans le programme EDMO - l'Observatoire européen des médias numériques, qui concerne les 27 Etats membres de l’UE, ainsi que la Norvège. Ses missions : identifier la dimension internationale des mécanismes de désinformation et partager des outils pédagogiques pour permettre à chacun de mieux s’informer.