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  • Les stéréotypes dans les médias
    Cindy zappe à la télé chez elle. Sur TV VroumVroum : que des hommes. Sur TV BB : que des femmes. Cindy descend dans la rue. Elle voit pourtant des femmes au volant et des hommes une poussette à la main. Pour le spectacle de fin d'année avec les copains, elle décide de se moquer des stéréotypes.
  • La publicité dans les médias
    Les copains du collège ont décidé de lancer leur propre journal pour raconter la vie du quartier. Comme ils n’ont pas d’argent, ils ont fait le tour des commerces et institutions du coin : le cinéma, le théâtre et même la mairie ont accepté de leur donner un peu d’argent contre une publicité dans le journal. Mais après un article de Leonard disant que la dernière pièce à l’affiche était nulle, le théâtre ne veut plus leur donner d’argent et les copains sont à sec. La pub permet à un journal de …
  • Nous sommes tous médias
    Dimanche, il y a eu un incendie à la pizzeria en face du collège. Une partie de la classe était réunie au kébab juste à côté. Cindy a posté des photos sur Photogram. et Léonard et Fama ont recueilli les premières réactions sur place. Cette dernière a tout raconté sur les réseaux sociaux, et a notamment rapporté de fausses informations. A l’heure des réseaux sociaux nous sommes tous un peu médias. C’est utile mais complique les choses et peut aboutir à des dérives.
  • Les journalistes disent-ils tous la même chose ?
    A Troupaumé, un immeuble a dû être évacué tellement il était sale. Il y avait des rats dans la cage d’escalier… On savait depuis longtemps que l’immeuble était mal entretenu, mais cette histoire a attiré tous les médias du pays : les chaines d’info ont couvert l’évacuation et des journalistes demandaient aux élèves à la sortie du collège ce que ça leur faisait de vivre dans une ville sale. Pendant une semaine il n’a été question que de cela, alors que le reste de la ville est plutôt propre. Par…
  • La liberté d'expression et ses limites
    Chaque année, le théâtre de la ville organise une soirée amusante. Une dizaine d’habitants monte sur scène pour faire tour à tour le portrait d’un voisin. La soirée s’appelle « En toute liberté » et le journal local reprend chaque année les meilleurs portraits. On a le droit de parler des défauts de ses voisins, de les exagérer et d’en rigoler. Mais cette année, la soirée a mal tourné. Un habitant a fait un portrait carrément raciste. La liberté d’expression a des limites, elles sont même fixée…
  • La théorie du complot
    C’est devenu l’obsession de Kamel : il est persuadé que son prof d’anglais a une dent contre lui. Comme par hasard, il n’a jamais la moyenne et ce malgré tous ses efforts. Il commence à croire qu'il s'agit d'un complot et décide d'en parler à ses parents. Sa mère prend alors l'exemple des attentats du 11 septembre pour lui expliquer ce qu'est vraiment la théorie du complot...
  • Le pluralisme des médias
    L’équipe de foot de Troupaumé est nulle cette saison. Elle enchaine les défaites et les joueurs se détestent entre eux. Mais le Canard boiteux répète chaque semaine qu’elle progresse. Pourquoi ? Peut-être parce que le propriétaire de l’équipe est aussi celui du journal… Journal qui soutient toutes les actions du maire, même les plus critiquées. Le problème c’est qu’il n y’a que Le Canard boiteux pour informer les habitants de Troupaumé. Il y a un sérieux problème de pluralisme des médias dans l…
  • Un réseau social, ce n'est pas un journal
    En ce mois de juin, le Canard boiteux a lancé un défi aux élèves : raconter chacun leur année au collège sur leur réseau social préféré. De son côté le journal sortira un numéro spécial où ses reporters raconteront l’année à leur façon. A la fin du mois on compare : rien à voir entre ce que racontent les élèves et les journalistes. Un réseau social ce n’est pas un journal : plus de subjectivité, plus de buzz, moins de synthèse, moins d’information.
  • Un réseau social, ce n'est pas un journal
    En ce mois de juin, le Canard boiteux a lancé un défi aux élèves : raconter chacun leur année au collège sur leur réseau social préféré. De son côté le journal sortira un numéro spécial où ses reporters raconteront l’année à leur façon. A la fin du mois on compare : rien à voir entre ce que racontent les élèves et les journalistes. Un réseau social ce n’est pas un journal : plus de subjectivité, plus de buzz, moins de synthèse, moins d’information.
  • Qu'est-ce que l'audience ?
    Tout près du collège, tous les mercredi, le même cirque recommence : deux vendeurs ambulants de tee-shirts s’installent au bout du marché… L’un des deux est un vrai showman : il vend ses t-shirts en musique et a un bagout incroyable. Il y a toujours un monde fou devant son stand. L’autre n’est pas très bavard et attire peu de monde. Mais ses t-shirts sont de bien meilleure qualité. L’audience c’est important, mais pas forcément gage de qualité.
  • Le coût de l'information
    Dans le cadre de l’enseignement moral et civique, les copains ont un très beau projet : filmer plein d’habitants du département et leur demander ce que leur inspire le mot « France ». Ce serait comme un documentaire à la télé. Mais la prof leur a demandé : qui va payer les caméras, le montage du film et les trajets pour aller dans tout le département ? Quand pourront-ils travailler sur leur documentaire, en plus de tout ce qu’ils ont à faire dans la semaine ? Une information sérieuse et solide,…